book.notAvailable
book.availableIn
Les jeux finis ont des règles fixes et répondent à un objectif convenu qui, lorsqu’il est atteint, met fin au jeu. Les jeux infinis, au contraire, n’ont aucune règle précise et laissent une immense latitude à leurs joueurs. Selon Simon Sinek, l’entreprise elle-même est un jeu infini : il ne s’agit pas de gagner, mais de rester dans la course, sans jamais se renier. Mais nombre de dirigeants s’enferment à disputer un jeu fini, en cherchant avant toutes choses à l’emporter sur leurs concurrents. Comment sortir de cette impasse ?
book.readingBy
Catherine Piraud-Rouet
Dans les années 1950, la durée de vie moyenne d’une entreprise était d’un peu plus de soixante ans. Aujourd’hui, elle est inférieure à vingt ans. Selon Simon Sinek, il ne faut pas tant y voir la conséquence de l’explosion et l’accélération des technologies que celle de l’incapacité des dirigeants à appréhender l’avenir de leur entreprise, alors que le monde change autour d’eux. La plupart, en effet, ont adopté un esprit et un mode de fonctionnement fini, court-termiste et farouchement individualiste. Mais le monde appartient à d’autres entreprises, portées par un esprit infini, à l’horizon temporel illimité, à la stratégie humaniste, centrée sur leurs consommateurs et sur le bien-être de leurs salariés. Ce livre explique aux dirigeants d’organisations de toutes tailles et de toutes natures comment éviter les pièges de l’esprit fini et devenir un leader à la vision infinie.
book.moreChapters