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Dans "On m’avait dit que c’était impossible", Jean-Baptiste Rudelle prend un temps de recul sur sa vie d’entrepreneur. Il livre son retour d’expérience comme un exemple de la French Tech. Ses réalisations, ses erreurs, ses choix, constituent un mode d’emploi pour les créateurs d’entreprise. Déplorant le French bashing permanent, il croit au potentiel des entreprises françaises. Jamais donneur de leçon, plutôt observateur du monde des affaires, sa connaissance des start-up en France et aux États-Unis offre une solide base de réflexion et des conseils pratiques pour ceux qui démarrent leur activité.
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Catherine Lomenech
Au moment où il découvre son propre visage sur l’écran géant de la bourse du Nasdaq à New-York, Jean-Baptiste Rudelle savoure cet instant de la réussite comme une sorte d’arrêt sur image. Il perçoit en même temps le besoin d’un temps de recul sur cette formidable aventure qu’il vient de vivre avec son entreprise Criteo. Homme d’action, mais aussi, et certainement plus qu’il ne veut bien l’avouer, homme de réflexion, il décide de se donner le temps de rédiger son manifeste On m’avait dit que c’était impossible. Il nous y détaille le journal de bord de son odyssée technologique pour aider ceux qui souhaitent créer leur entreprise. Inspiré par les leçons de ses premières expériences, Jean-Baptiste Rudelle s’est autorisé à offrir à Criteo une nouvelle énergie décomplexée et lucide. Bien que rompu au fonctionnement du marché américain, il reste profondément attaché à sa culture française. Ce livre est aussi une profession de foi : Mais si ! La France est un pays propice aux entreprises de haute technologie ! Avis aux entrepreneurs et aux investisseurs : ne vous laissez pas dissuader par le french bashing. La preuve : Criteo, devenue multinationale, a choisi de conserver son siège social en France !
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